samedi 3 avril 2021

Joyeuses Pâques 2021 ^^

C'est avec une sélection de cartes postales issues de la collection O. Dasnoy que je vous souhaite des très joyeuses fêtes de Pâques!

Petit cadeau supplémentaire, le blog est retour sur Facebook!
Voici le lien vers ma nouvelle page =>
https://www.facebook.com/leblog2callisto

A bientôt,

Callisto

 











 

samedi 27 mars 2021

Quelques billets de train... ^^

D'habitude je vous propose plutôt des billets de tram, mais je ne vois pas de raison de ne pas varier les plaisirs, donc voici quelques billets de train que j'ai récupérés en brocante...

* Un billet de surtaxe, lié à la réservation d'une place assise "fixe" dans le train. Comme le précise les conditions d'utilisation au verso, le ticket doit être présenté au personnel avant le départ du train et n'est pas remboursé en cas lorsque la place est décommandée.





* Un billet aller et retour de Rebecq à Bruxelles, daté du 24 octobre 1961.



* un billet Ostende-Bruges daté du 27 juin 1977



* deux billets Ostende-Braine le Comte, datés du 24 juin 1978





* un billet de réservation pour un train international reliant Ostende à Chur (c'est en Suisse), daté du 10 mars 1985. Le voyage est prévu pour le 6 juin et s'effectue visiblement de nuit, vu que départ du train est annoncé à 21h04.





* Plus récent, un billet simple "Anvers Central - Lier", daté du 22 juillet 1987



* et un billet weekend "Anvers Central - Bruxelles jonction Nord-Midi", daté du 25 juillet 1987



Bon weekend,

Callisto

samedi 20 mars 2021

La ligne Schaerbeek-Bois dans la presse, 1872 - 1875 ^^


L'ancienne presse belge numérisée regorge de détails parfois oubliés des historiens traminots, vu que ces "petites histoires" ne sont pas relatées dans les rapports annuels des sociétés de transport concernées. Aujourd'hui, partons à la découverte de 7 extraits de presse qui nous emmènent sur la ligne qui relie Schaerbeek au Bois de la Cambre.


Extrait #1: "L'Echo du Parlement" du 18 juin 1872:
Un abonné nous écrit pour que nous suggérions à l'administration communale l'idée d'imposer à la compagnie des omnibus américains l'établissement, à leurs stations principales, de poteaux indiquant la direction à suivre.
Notre correspondant a vu, il y a quelques jours, une famille anglaise monter en voiture, se dirigeant vers le boulevard Botanique, alors qu'elle croyait aller au Bois.
La compagnie pourrait aisément parer à cet inconvénient, à l'aide d'écriteaux mobiles placés dans les voitures, et qu'il suffirait de retourner à chaque voyage.

Extrait #2: "L'Echo du Parlement" du 30 août 1872:

Nous avons sous les yeux un nouveau tableau-tarif pour le chemin de fer américain qui fait le service entre le Bois de la Cambre et la rue Teniers. Ce tableau, dressé par M. de Jamblinne, architecte de la ville, contient tous les renseignements désirables et mettra fin à toutes les contestations sur le prix des parcours.




Extrait #3 : "L'Echo du Parlement" du 14 juin 1873:
C'était fête aujourd'hui pour les enfants de l'école gardienne de Saint Josse-ten-Noode. La compagnie des omnibus américains avait mis gratuitement deux de ses voitures à la disposition de l'établissement, et, dès 8 heures du matin, une centaine d'enfants - filles et garçons - dont le plus âgé avait 6 ans peut être, partaient gaiement pour le Bois. Le bonheur de ses bambins durant cette journée, leurs jeux, leurs chants, leur rondes seraient choses longues à décrire. Une collation leur fut servie sur la pelouse et la petite troupe, de retour au bercail vers 3 heures, se souviendra longtemps du plaisir qu'elle a éprouvé.

Extrait #4: "L'Echo du Parlement" du 14 décembre 1874:
On parle beaucoup en ce moment de la reprise des lignes d'omnibus américains de la capitale, par ce grand accapareur qui s'appelle Simon Philippart. Comme on l'a annoncé il y a plus d'un mois, il a racheté pour 2.100.000 francs la ligne Morris, les omnibus jaunes allant du bois de la Cambre à l'extrémité de la chaussée de Haecht.

Cette ligne avait déjà été rachetée une première fois par le propriétaire actuel pour un million. En second lieu, Simon Philippart paie 8.200.000 francs la ligne Vaucamps, qui va d'Anderlecht jusqu'à Laeken en passant sur le territoire de plusieurs autres communes auxquelles s'en ajouteront d'autres dans l'avenir.

Enfin, il est question de la reprise de la ligne de la Société Brésilienne qui fait le tour des anciens boulevards et relie la station du Nord et la station du Midi. Si cette combinaison aboutit, il ne restera plus que la ligne d'Ixelles-Etterbeek, appartenant aux frères Becquet et destinée à prendre elle aussi une grande extension vers Tervueren et Boitsfort.

Ceci est naturellement dans les contingents futurs, mais en attendant, l'exploitation des deux grandes lignes reprises par Philippart va être mise en société au capital de 15 millions. On a beaucoup discuté, parmi les hommes d'affaires, le prix de la concession Vaucamps. Ce chiffre de 8.200.000 francs parait énorme. Il faut une recette nette de plus de 1.000 francs par jour pour payer l'intérêt à 5% d'un pareil capital. Il est vrai qu'on affirme d'autre part que pendant le seul mois d'octobre, la recette brute a été de trois fois ce chiffre. Puis on ajoute que l'on compte, pour rendre l'entreprise lucrative, sur la substitution de la vapeur à la traction par chevaux.

Déjà de nombreux essais ont été faits avec des locomotives routières. Il n'ont réussi qu'à moitié, mais une nouvelle expérience va être faite prochainement avec une nouvelle locomotive construite dans les ateliers de Braine-le-Comte ou de Tubize. Si le succès couronne cette tentative, nous verrons avant peu les rues de Bruxelles sillonnées de voitures marchant à la vapeur.


Extrait #5: "Le Journal de Bruxelles" du 20 février 1875:
De nouvelles voitures circulent sur la ligne des omnibus américains du Bois. Elles vont, dit-on, remplacer les voitures de l'ancien type. Les nouvelles venues sont semblables à celles des lignes du boulevard sans impériales. On les attelle d'un seul cheval. Dans les beaux jours d'été, la ligne du Bois sera desservie par des voitures tout ouvertes.




Extrait #6: "L'Echo du Parlement" du 1er octobre 1875:
Mercredi matin de très bonne heure, de nouveaux essais de traction d'omnibus américains par des remorqueurs à vapeur ont été faits à Bruxelles, avenue de la Toison d'Or et sur la ligne du Bois.




Extrait #7: "Le Journal de Bruxelles" du 8 octobre 1875:
On a placé dans une des nouvelles voitures construites par la société Métallurgique et charbonnière belge pour le service des tramways du Bois de la Cambre un nouveau système de sonneries électriques récemment inauguré à Paris et destiné à remplacé avantageusement le système actuellement en usage dans nos voitures de tramways.
Ce nouveau système, outre certains avantages économiques, assure beaucoup plus efficacement la bonne marche du service. Il sera plus particulièrement apprécié par les dames, qui pourront facilement avertir elles-mêmes les conducteurs lorsqu'il s'agira de faire arrêter la voiture.


Bon weekend,

Callisto

samedi 13 mars 2021

Les Tramways Bruxellois et les accumulateurs Faure, 1885 (fact-checking) ^^

L'ancienne presse belge numérisée regorge de détails parfois oubliés des historiens traminots, vu que ces "petites histoires" ne sont pas relatées dans les rapports annuels des sociétés de transport concernées. 

Aujourd'hui, je vous propose de faire du fact-checking (et oui, c'est à la mode) à partir d'un extrait du "Journal de Bruxelles" du 15 février 1885, dans lequel nous pouvons lire que:
La compagnie des Tramways Bruxellois inaugure, mardi prochain, sur le parcours de la rue de la Loi, la traction électrique par le système des accumulateurs Faure.
Bruxelles est la première ville du continent qui se trouve dotée du système de traction par accumulateurs Faure.

Des accumulateurs Faure à Bruxelles, voilà une grande nouvelle, car il a toujours été question d'accumulateurs Julien!

Pour faire ce fact-checking, utilisons un extrait de la Revue universelle des mines, paru en 1886:
En 1883, débutèrent à Bruxelles des expériences sommaires conduites par feu Edmond Julien, sur des voies relativement peu accidentées de la Société des Tramways Bruxellois. C'est la suite des essais poursuivis à Paris avec les accumulateurs Faure, mais avec une importante modification.

Le premier progrès a été obtenu par l'emploi de lames perforées avec minium disposé dans les ouvertures au lieu d'être appliqué à la surface. Par cette disposition nouvelles, la durée des appareils et leur capacité d'emmagasinement se trouvaient notablement augmentés.
Dès que le progrès fut bien constaté, les expériences de traction recommencèrent à Bruxelles. Chaque nuit, la voiture qui avait servi aux expériences précédentes circulait sur les lignes des Tramways Bruxellois et, le 27 octobre 1883, avec un chargement de 1.200 kilos d'accumulateurs, on effectuait un parcours de 53 kilomètres. C'était un grand pas en avant, il ne restait plus qu'à trouver le moyen de prolonger encore la durée des lames. Ce progrès a été réalisé en 1884 par l'emploi d'un composé métallique spécial insensible à l'action du courant électrique, dont l'idée est due à M. Julien, directeur de la société l'Electrique à Bruxelles.

La voiture électrique, armée de batteries confectionnées avec ce métal, a fait, au commencement de l'année 1885, le service régulier rue de la Loi, à Bruxelles, concurremment avec les voitures ordinaires à traction par chevaux. Pendant l'exposition d'Anvers, la même voiture a pris une part brillante au concours de traction organisé à l'occasion de l'Exposition.

Donc non, Bruxelles n'a pas été la première ville du continent dotée d'accumulateurs Faure. Pour que la phrase soit exacte, on devrait parler "d' accumulateurs Julien" ou "d'accumulateurs système Faure".


On notera qu'après avoir obtenu le diplôme d'honneur lors du concours de traction organisé lors de l'Exposition Universelle d'Anvers en 1885, la voiture électrique à accumulateurs Julien participe à l'Exposition Universelle de Paris en 1886, comme en atteste cet extrait de la "Revue Industrielle" du 9 septembre 1886:

Le tramway électrique de l'exposition.

On vient d'expédier de Bruxelles un tramway électrique construit tout exprès pour faire le service entre le palais de l'Industrie et la place de la Concorde pendant l'Exposition des Sciences et Arts Industriels.

Cette voiture a été fabriquée par la société "L’Électrique" et sera mue par une batterie d'accumulateurs Julien. La voie, sur laquelle elle doit marcher, est établie depuis plusieurs jours déjà, l'expérience ne tardera donc pas à être faite.
Après avoir figuré à l'Exposition de Paris, ce tramway reviendra à Bruxelles, où il sera employé sur la ligne du quartier Léopold. 

La voiture à accumulateurs Julien des Tramways Bruxellois à l'exposition de Paris en 1886

samedi 6 mars 2021

"La Mode Illustrée", 6 mars 1910 ^^

Voici quelques scans issus du magazine français "La Mode Illustrée" paru en date du 6 mars 1910. Vous y trouverez des gravures de mode féminine (notamment des toilettes et des robes de mariées), divers motifs de broderie, ainsi qu'un article consacré aux paletots et robes simples.

Bonne lecture et bonne soirée ^^
















samedi 27 février 2021

Brevet des Tramways Bruxellois pour une poinçonneuse pour tickets avec dispositif de sonnerie, 1929 ^^

J'ai trouvé, en cherchant autre chose, un brevet déposé en 1929 par les Tramways Bruxellois, pour une poinçonneuse de tickets avec dispositif de sonnerie.

Ce brevet d'invention dispose (entre autres) que:

"La présente invention est relative à une poinçonneuse qui effectue dans les tickets, cartes, abonnements ou équivalents, des marques constituées par des caractères d'impression et des trous.

Cette poinçonneuse est réalisée sous la forme d'une pince comportant deux mâchoires actionnables à la main. Elle comporte en outre un compteur enregistrant le nombre de coups de poinçon ainsi qu'une sonnerie fonctionnant à chaque coup de poinçon.

La présente invention est relative à des perfectionnements de construction permettant de loger ces différents organes dans l'espace relativement réduit constitué par les susdites mâchoires.

Suivant l'invention, les déplacements des mâchoires de la pince ont pour effet de déplacer un levier coudé dont un des bras porte le poinçon et dont l'autre bras actionne le dispositif de sonnerie et le compteur enregistreur.

La poinçonneuse comporte également une ou plusieurs roulettes destinées à imprimer des caractères sur le ticket, roulettes qui peuvent être déplacées et immobilisées à volonté.

Suivant la présente invention, les dites roulettes peuvent être immobilisées dans des positions fixées par des repères par une ou plusieurs billes qu'on peut immobiliser à volonté dans des encoches prévues dans les dites roulettes.

L'invention est relative également à des perfectionnements aux sonneries comportant un timbre sur lequel vient frapper un marteau, les sonneries connues de cette espèce comportent généralement au moins deux ressorts, fonctionnant respectivement à l'aller et au retour du marteau.

La présente invention simplifie la construction de ces sonneries en utilisant un seul ressort qui est de préférence un ressort à lame dont la courbure est telle, qu'elle maintient, à l'état de repos le marteau à quelque distance du timbre, le soulèvement du marteau ayant pour effet de bander le ressort qui se détend ensuite et dépasse sa position de repos pour permettre au marteau de frapper sur le timbre pour revenir ensuite à sa position primitive.

Le dessin annexé représente à titre exemplatif et non limitatif une forme d'exécution de l'invention; celle-ci s'étend aux diverses particularités originales que comportent les dispositions représentées. 

 

La figure est une vue schématique en perspective avec coupes d'une poinçonneuse suivant l'invention."

Le brevet complet, au format pdf, peut être téléchargé sur le site de l'EPO (European Patent Office).

Bon weekend,

Callisto

samedi 20 février 2021

Le stéréoscope ^^

Bienvenue dans la "haute technologie" du 19ème siècle! Aujourd'hui, j'ai envie de vous parler du stéréoscope, dont le tout premier modèle a été présenté le 25 juin 1838 au sein de la Société Royale de Londres par le physicien Charles Wheatstone (1802-1875).

Cet instrument reproduit l'effet du relief en faisant coïncider dans l'oeil deux images à peu près semblables par leur réflexion sur des miroirs plans convenablement placés.

Le stéréoscope de Wheatstone est à peu près oublié quand un autre physicien, David Brewster (1781-1868), construit le sien à Dundee, en Ecosse. 

Stéréoscope de Brewster


Ce petit appareil serait peut être tombé dans l’oubli sans un voyage que David Brewster fait à Paris en 1850. L'abbé François Moigno (1804-1884), frappé des curieux effets du stéréoscope, prie alors l'inventeur d'en confier la construction à Jules Duboscq (1817-1886), un ingénieur-opticien français. L'heure du succès avait sonné et le stéréoscope devient populaire en France.

Les images stéréoscopiques (voir exemple ci-dessous) sont deux vues du même objet, qui ne diffèrent que très peu l'une de l'autre, mais qui, en réalité, sont disparates.




On remarque que, sur la vue de droite, on aperçoit 4 arches du pont, tandis que l'on aperçoit que la moitié de la 4ème arche sur celle de gauche. Ces deux vues représentent cet objet comme l'observateur le verrait s'il regardait cet objet alternativement avec l'oeil droit puis avec l'oeil gauche.

Placées dans le stéréoscope, ces deux images se réunissent en une seule image sur la rétine, par l'effet des deux lentilles du stéréoscope, et donnent ainsi la sensation de relief. En gros, c'est le "3D" de l'époque!


La photographie permet de reproduire très facilement deux images. Pour cela, on prend successivement de la même distance et sous des angles inégaux de quelques degrés, avec une même chambre obscure, deux images de l'objet que l'on a choisi. Les deux images photographiques ainsi obtenues produisent les effets du relief dans le stéréoscope.

Appareil pour tirer deux épreuves photographiques destinées au stéréoscope.


Dans un stéréoscope à colonne, les épreuves stéréoscopiques sont portées sur un axe commun, et disposées en éventail sur cet axe. En tournant un bouton, on fait avancer chaque épreuve chacune à son tour. Le spectateur voir ainsi se succéder toutes les images contenues à l'intérieur de la boîte.

Stéréoscope à colonne


Pratique, mais encombrant n'est ce pas?


Bon weekend,

Callisto

samedi 13 février 2021

Le véhicule de service 271 des Tramways Bruxellois ^^

Je pensais avoir déjà publié cette photo du rond-point de la rue de la Loi, prise durant la seconde guerre mondiale, et qui nous montre un véhicule de service des Tramways Bruxellois. Après recherche, je n'ai pas réussi à retrouver cette photo, raison pour laquelle je la republie à nouveau (et en meilleure résolution).



Cela nous donne l'occasion de faire le point sur ce que nous savons de ce véhicule, connu comme étant une sableuse de voie.

La motrice 271 est construite vers 1921 à partir d'une ancienne voiture de type 1800/1900. Cependant, il n'est pas possible de savoir si ce tram de service servait déjà au sablage des voies avant et durant la seconde guerre mondiale. Par contre, il est certain que cette motrice a fait office de sableuse par la suite. On la voit, dans sa nouvelle livrée, sur la photo ci-dessous.



En janvier 1961, ce véhicule est repris dans la liste de rénumérotation comme sableuse devant devenir le numéro "75". Les nouveaux numéros prévus n'ont pas tous été appliqués, et ce tram garde donc temporairement son numéro 271.

La motrice effectue sa dernière campagne de sablage à l'automne 1961. Ce sera la première entorse au programme précité de renumérotation: on décide de la remplacer par une sableuse 75, réalisée en 1962 au départ d'une motrice "Standard" (ex-1287). Ce sera d'ailleurs la première utilisation d'une motrice Standard pour réaliser un véhicule de service.

Le tram de service 271 est démoli dans les premiers jours de 1962.


Terminons par un petit mot sur sa remplaçante, la motrice 75, ex-1287, qui effectue sa première campagne de sablage en 1962. Elle circule alors en livrée à zébrures brunes et blanches, avec une perche et bâchée sur les côtés, comme toutes les sableuses de l'époque. Elle est dotée d'un pantographe et repeinte en jaune et noir vers 1969/1970. On peut la voir en photo (prise le 19 septembre 1970) sur Flickr. Elle est ensuite renuméroté "55" en juin 1973, les numéros "trams" au-dessus de 60 devant être libérés pour les wagons "métro". Sa perche lui est retirée vers 1975/

Elle est déclassée le 15 décembre 2004 et devient alors un véhicule Musée. Sa rénovation, commencée le 9 novembre 2013, est toujours en cours.

En voici quelques photos:










Bon weekend,

Callisto

samedi 6 février 2021

L'Europe en cartes postales anciennes: voyage à travers la Belgique ^^

Voici un "melting-pot" de cartes postales trouvées en brocante. Le point commun de toutes ces cartes postales est qu'elles n'avaient pas encore voyagé. Je les ai toutes envoyées à travers le monde via le projet "Postcrossing", qui promeut les échanges de cartes postales entre tous les pays du monde.

On commence par Chassepierre, une petite localité qui fait partie de la commune de Florenville, dans la province du Luxembourg et qui est traversée par la Semois.









Nous quittons la province du Luxembourg pour la province de Namur, avec cette vue de la place du Chapitre de Fosses-la-Ville, et de sa pompe à eau, qui recouvre le puits communal depuis la moitié du 18ème siècle.



Nous restons en province de Namur avec cette vue de la citadelle de Namur.



Nous quittons la région wallonne pour la région bruxelloise, avec cette vue de la façade du bâtiment sis avenue Demolder 32 à Schaerbeek. Au moment de la prise de la photo, la bien servait de pension pour jeunes gens.



Nous quittons la région bruxelloise pour la région flamande, où nous découvrons Bruges et son béguinage...



... le trésor de la basilique Notre-Dame de Tongres...



.... le château d'eau de Zeebruges...



... et le Grand Hôtel Continental de la Panne.



Bon weekend,

Callisto