mardi 20 juillet 2021

"La Mode Illustrée", 20 juillet 1884 ^^

Voici quelques scans issus du magazine français "La Mode Illustrée" paru en date du 20 juillet 1884. Vous y trouverez des gravures de mode féminine, notamment des robes, un manteau d'été, des mantelets, ainsi qu'une large sélection de linge de corps pour enfants.

Bonne découverte!









PS: au cas où vous auriez manqué l'info, je vous redonne le lien vers ma nouvelle page Facebook => https://www.facebook.com/leblog2callisto

samedi 10 juillet 2021

Une tenue en soie "1900" ^^

Avec un peu de retard (beaucoup même), je publie enfin ces quelques photos de mon ensemble "Belle Epoque" en soie. Il a été réalisé sur mesure par la créatrice Anne-Sophie Toniazzi. Je la remercie vivement pour sa création ^^

L'ombrelle, quant à elle, a été chinée sur un marché aux puces.


Bon weekend et à bientôt!









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samedi 3 juillet 2021

Un catalogue des Usines Métallurgiques du Hainaut (Couillet) ^^

Trouvé lors d'une brocante, ce chouette catalogue des Usines Métallurgiques du Hainaut, dont je vous avais déjà parlé dans un précédent article. Il n'est malheureusement pas daté, mais doit probablement remonter aux années 1920.

Pour rappel, l
a Société anonyme des Usines Métallurgiques du Hainaut, anciennement "Société anonyme des Hauts Fourneaux, Usines et Charbonnages de Marcinelle & Couillet", a été fondée en 1835 et est l'un des plus anciens établissements sidérurgique de Belgique. Ce complexe industriel comprenait aussi un atelier de construction métallique et un atelier de construction de locomotives. Dans les années 20, l'UMH emploie près de 4.000 ouvriers et produit environ 90 locomotives par an.

Outre les mines, les charbonnages et laminoirs à tôle qu'elle exploite, la SA des Usines Métallurgiques du Hainaut possède 4 hauts-fourneaux, 75 fours à coke, une aciérie "Thomas" équipée de 4 convertisseurs à oxygène, un blooming pour lingots, une fonderie de fonte, une cimenterie de laitier et une briqueterie.

La production de locomotives s'arrête dans les années 30.

En 1955, l'UMH fusionne avec la Société Métallurgique de Sambre et Moselle et change sa raison sociale en "Société Métallurgique Hainaut-Sambre SA". Elle refusionnera avec Cockerill en 1981 afin de former la nouvelle société Cockerill-Sambre. L'activité sidérurgique s'arrête cependant en 1986 et le site est désaffecté en 1989. Les infrastructures sont rapidement rasées. Le site a été reconverti et est occupé par un centre de tri (pour les déchets) et diverses PME.



Revenons-en maintenant au catalogue, qui présente leurs différentes productions (aciers, rails, tôles, essieux, arbres coudés ainsi que diverses machines-outils) et surtout leurs locomotives. On y retrouve également deux vues de l'usine (intérieur et extérieur). N'étant pas en mesure de partager toutes les pages du catalogue (il y en a plus de 80!), je me suis contentée de quelques modèles de locomotives de l'Etat Belge.

Bonne découverte!




















samedi 26 juin 2021

Des transformations apportées à la chevaline 31 dite "Saint Michel" de la Compagnie Brésilienne ^^

Nous avons abordé, dans notre précédent article, la fusion, opérée le 9 mars 1880, entre la Compagnie Brésilienne de Tramways et les Tramways Bruxellois, n'est pas un sujet fort documenté.

Continuons à lire la note d'Albert Jacquet, qui nous parle maintenant de la voiture ouverte n°31, dite "Saint Michel":



En 1873, la compagnie Brésilienne mit en service, sur la ligne des boulevards du haut de la Ville, une voiture ouverte pour la période d'été.

Ce véhicule, unique en son genre, portait le n°31 et sortait des ateliers Charles Evrard, qui construisait à l'époque des voitures semblables pour les tramways de la Haye. Le n°31 reproduisait les dispositions générales des voitures fermées à deux classes et à banquettes longitudinales en service sur le réseau, mais la séparation médiane était constituée par une simple cloison à hauteur d'accoudoir.

La toiture était supportée par les 4 poteaux d'angle et par deux montants intermédiaires de chaque côté. Il n'existait aucune espèce de cloisonnement vitré protecteur. De simples rideaux de coutil mettaient le public à l'abri du soleil et de la pluie.


Les places assises étaient au nombre de 16, comme dans les voitures fermées. Des coussins mobiles en velours rouge marquaient la 1ère classe.

A l'origine, les plates-formes présentaient une disposition spéciale, avec rampes d'appui latérales, marche-pieds obliques et garde-corps étroits. Ces plates-formes furent modifiées par la suite, conformément à celles des autres voitures.
vue d'une rampe d'appui latérale et d'un marche-pied oblique

La voiture n°31 pouvait transporter 30 personnes en pleine charge, y compris le cocher et le receveur.

Primitivement peinte en jaune, avec soubassement blanc, elle portait au centre de son panneau principal un écusson aux armes de la Ville de Bruxelles, ce qui lui valut le surnom de "voiture Saint-Michel". La 31 fut repeinte en rouge carmin foncé, comme tous les autres véhicules de la compagnie Brésilienne. L'écusson fut maintenu.


Ce type de voiture ne fut pas reproduit et les sociétés exploitantes donnèrent la préférence, pour le matériel d'été, aux voitures ouvertes à banquettes transversales, de capacité plus grande et mieux en rapport avec les goûts du public.

Ce véhicule a été remis en état en 1930 et a figuré dans le Grand Cortège lumineux.

Ce dessin Jacquet des années 20 nous montre le véhicule transformé: les plate-formes, marche-pieds, plaque de garde
des supports d'essieux et l'éclairage sont différents de ce que l'on voit sur la photo précédente.


Ce texte n’est pas tout à fait complet, vu qu’il omet de préciser que cette voiture a été rachetée en juillet 1875 au réseau de La Haye, où elle portait le numéro 11. Fabriquée dans les ateliers de la « Compagnie Belge pour la Construction de Machines et de Matériel de Chemins de fer », dirigée par Charles Evrard en 1874, elle dessert la ligne de Scheveningen, en compagnie de 7 véhicules identiques (numérotés de 4 à 10), avant de rejoindre Bruxelles pour des essais.


Ce texte oublie également de mentionner que la mention "Bruxelles" sur le soubassement de la caisse, va disparaitre quelques années, vu que ce véhicule va rouler, après la fusion, pour les Tramways Bruxellois sous le n°241 et aux couleurs de sa nouvelle compagnie. L'IRPA dispose d'une photo de ce véhicule circulant, avec son n°241, sur le boulevard du Régent. La voiture Saint Michel +/- au centre de la photo quand on zoome (fort).

La mention "Bruxelles" est ensuite à nouveau apposée sur le véhicule (à une date inconnue). Le photo-montage ci-dessous nous montre, au centre, la mention "Bruxelles" d'origine (sans doute dans son état d'origine vu la présence de la rampe d'appui latérale et du marche-pied oblique), entourée de deux autres photos de cette mention. La photo du haut date des années 30 et celle du bas des années 50.

On notera également que les boites à huiles et les plaques de garde ont été modifiées, vu qu'elle sont de type "Starbuck" sur les photos du haut (années 30) et du bas (années 50).

Au centre, la mention "Bruxelles" d'origine. La photo du haut date des années 30 et celle du bas des années 50.


Notons encore qu'il semblerait que la police de caractère apparaissant sur la voiture Saint Michel de la compagnie Brésilienne (photo du dessus) soit identique à celle actuellement affichée sur la chevaline 7 de la compagnie des Voies Ferrées Belges. Cela donne l'impression que cette mention a été décalquée de la voiture Saint-Michel afin d'être apposée sur la chevaline 7, vraisemblablement avant 1897 (vu que sur la photo de la 7 prise lors de l'exposition de 1897, c'est déjà cette graphie que l'on aperçoit).


En haut: la voiture Saint Michel. En bas: la chevaline 7 des Voies Ferrées Belges
 

Retraçons maintenant l'historique de ce véhicule et de ses transformations:

- Nous disposons d'une photo de ce véhicule, probablement dans son état d'origine, avec les rampes d'accès et le marche pied oblique, et affichant une mention "Bruxelles". A une date inconnue, les plateformes, marchepieds, plaques de support des boites d'essieux et l'éclairage sont modifiés.

- Il existe une autre photo de cette voiture  prise au bas de la rampe du boulevard du Jardin Botanique, sur laquelle la mention "Bruxelles" n'apparait pas (voir ci-dessous). Elle n'y apparait plus plus dans son premier état : la livrée jaune/blanc a été remplacée par du rouge carmin foncé. Cette modification est peut-être intervenue en 1875, comme pour les autres voitures brésiliennes qui n'étaient pas encore rouges à ce moment-là. L'écusson subsiste, selon la note manuscrite d’Albert Jacquet. Cependant, on ne distingue plus de mention "Bruxelles" ou  de mention "Tramway" sur la plate-forme. Celles-ci, ainsi que les supports d'essieux, ont été modifiées, de même que la banderole sur toit (au lieu de l’écriteau "Promenade circulaire"). Cependant, il est difficile de garantir que c'est la voiture 31, même si la position du "1" le laisse supposer.



- Après la reprise par les Tramways Bruxellois, en 1880, la chevaline 31 est renumérotée et devient la 241. Elle est repeinte en vert foncé, avec soubassement blanc, et perd son écusson central (celui avec Saint Michel), pour autant qu’il ait subsisté jusque-là.

- Vers 1904, la voiture 241 est retirée du service vu qu'elle ne subit pas de transformation visant à la convertir en remorque pour la traction électrique.

- En 1930 au plus tard, elle est remise dans sa livrée d'origine (mais pas dans son "état" d'origine !) en vue de sa participation au "Grand Cortège Lumineux". Mais sur quoi s'est-on basé pour la graphie "Bruxelles"?  Probablement, sur la photo d'usine (avec d'inévitables approximations).

- Elle circule (hors rails, apparemment) sur le plateau du Heysel les 26 mai et 6 juillet 1935, avec le cortège commémorant le centenaire des Moyens de Locomotion, organisé dans le cadre de l'Exposition Universelle.

- La chevaline 31 est également de sortie lors des festivités annuelles de la chaussée d'Anvers, dans les années '50. On la voit en action dans une séquence du film en noir et blanc "Le Mariage de Mademoiselle Beulemans"  datant de 1950.

- Elle est notamment exposée avenue de la Toison d'Or en 1951, dans le métro d’Anvers en 1973, ainsi qu’à Lille en 1974.

- Au début des années 60, cette voiture est confiée à l'AMUTRA avant d'intégrer les collections du Musée du Transport Urbain Bruxellois.



Bon weekend et à bientôt pour d'autres aventures,

Callisto



samedi 19 juin 2021

La fusion de la compagnie Brésilienne de Tramways et des Tramways Bruxellois, en 1880 (par Albert Jacquet) ^^

La fusion, opérée le 9 mars 1880, entre la Compagnie Brésilienne de Tramways et les Tramways Bruxellois, n'est pas un sujet fort documenté. Heureusement, une note manuscrite d'Albert Jacquet nous en décrit les circonstances, et nous apprend de nombreux autres détails quant à la manière dont la Compagnie Brésilienne exploitait ses lignes.

Albert écrit donc, en 1928:
La cavalerie de la société Brésilienne était composée avec un soin remarquable. Elle comportait des sujets appartenant aux races les plus réputées du pays. Les animaux étaient admirablement soignés et entretenus. Ceux destinés au rude service de la ligne des boulevards du haut de la ville étaient l'objet d'une sélection spéciale.

Malheureusement, à cette époque, la médecine vétérinaire ne disposait pas encore des moyens dont les progrès de la science moderne l'ont ultérieurement dotée et, à plusieurs reprises, les chevaux furent atteints de maladies épidémiques qui causèrent de sensibles pertes d'effectif et augmentèrent les charges déjà très lourdes de l'exploitation du réseau.

Eu égard à l'effectif restreint de la cavalerie et du matériel roulant, le société était obligée d'utiliser toutes ses réserves et d'imposer aux chevaux des efforts exagérés.

Malgré la mise à double voie sur la ligne des boulevards, il était difficile d'obtenir un service régulier et de prévoir une intensification quelconque de la fréquence en raison du maintien de la voie unique en certains endroits du parcours, notamment entre la place royale et le boulevard de Waterloo, ainsi qu'aux abords de l'ancien entrepôt.

Rue Belliard, au passage à niveau, la traversée des rails du chemin de fer de l'état se faisait à voie unique. La fréquence du passage des trains mettait un sérieux obstacle à un service régulier. La fermeture des barrières occasionnait des stationnements de 5 à 10 minutes et parfois même davantage. Le public préférait souvent faire à pied le court trajet effectué par la ligne.


La compagnie Brésilienne éprouvait donc de très grosses difficultés à maintenir l'équilibre de sa situation financière. La ligne du Nord au Midi par l'entrepôt et les abattoirs, établie en terrain plat sur tout son parcours avait un assez bon rendement vu que la traction s'effectuait par un seul cheval. La ligne des boulevards du haut de la ville donnait également des résultats satisfaisants.

Malheureusement, les frais énormes occasionnés par l'emploi d'attelages à 4 chevaux pour gravir les rampes des boulevards de Waterloo et du Jardin Botanique, venaient contrebalancer d'une façon fâcheuse les recettes réalisées.

La ligne de la rue Belliard, desservie par 2 voitures sur un parcours de 900 mètres, était déficitaire, le public préférant faire ce court trajet à pied. Les attractions du Jardin zoologique, dont la vogue déclinait d'année en année, n'attiraient plus la foule et de 8 heures du matin à 10 heures du soir, les voitures circulaient presque vides.

Rue de la Loi, la ligne desservait un quartier riche, dépourvu de tout commerce, dont les habitants ne pouvaient guère former une clientèle sérieuse pour un service de tramways. Là aussi les bénéfices avaient peine à équilibrer les dépenses.

C'est dans cette situation difficile que se trouvait le société brésilienne qui s'était toujours efforcée de remplir scrupuleusement ses engagements lorsque, en 1879, furent entreprises des négociations de la reprise de leur réseau par les Tramways Bruxellois.

Je remercie Albert de nous avoir apportés ces précisions. Nous continuerons à lire sa note manuscrite dans notre prochain article, qui sera consacré à la voiture Saint-Michel, construite en 1874 par les Ateliers Charles Evrard et encore conservée aujourd'hui au Musée du Transport Urbain Bruxellois.




Bon weekend,

Callisto

samedi 12 juin 2021

Des lithographies d'Adrien Canelle (1819-1874) ^^

Adrien Canelle est une lithographe belge, autrement un artiste qui produit des dessins en série en les réalisant sur une pierre calcaire. Son ouvrage le plus connu est "La Belgique Industrielle", paru en 1852 et duquel sont issus les illustrations ci-dessous.

1. Ateliers de construction pour matériels de chemins de fer de François Pauwels, à Molenbeek-Saint-Jean.


2. Gare de Braine le Comte. Mise en service en 1841, c'est l'une des plus ancienne du pays (ndlr: le bâtiment est d'ailleurs classé).


3. Les usines Cail et Halot à Molenbeek-Saint-Jean (ce sont des fabricants de locomotives et de matériels pour chemins de fer).


3. Les usines Cappellemans. Il y en a plusieurs: une à Laeken (produits chimiques, sur la première photo ci-dessous et située entre le canal et l'emplacement de l'actuelle gare de Schaerbeek) ainsi qu'à Ixelles (une fabrique de faïences, situées à l'emplacement de l'actuel numéro 152 de la chaussée de Wavre à Ixelles, sur la seconde vue qui vous est proposée).

Ces établissements avaient encore une usine à Hal et une à Jemmapes, qui produisaient des porcelaines, des brosses, du verre, des bouteilles et des cristaux.



4. Les carrières de porphyre de Quenast, alors la propriété de monsieur Zaman.



6. La fabrique d'indiennes (tissus imprimés) Story - de Waes (qui se trouvait à l'actuel emplacement du centre commercial Docks Bruxsel, préalablement aux usines Godin).


7. Le jardin zoologique de Bruxelles (l'actuel parc Léopold).


Bon weekend et à bientôt!

samedi 5 juin 2021

Publicités automobiles 1925-1926 ^^

Voici quelques publicités automobiles, trouvées dans un magazine de 1926.

1.  Carrosserie VandenPlas, 30 rue St Michel à Woluwe.


2. Carroserie Fr. Dewolf, 57 rue des Goujons à Bruxelles.



3. D'Ieteren Frères



4. Automobiles Excelsior



5. "FN", Fabrique Nationale d'Armes de Guerre à Herstal.



6. General Motors.



7. Un peu moins prévisible, quoique mignon comme tout, le "Nugget Boot Polish"



8. Deux vues du Salon automobile de l'Olympia qui, comme son nom ne l'indique pas, se tenait à Londres et non à Paris.





10. Et finalement, histoire de terminer cette série d'affiches publicitaires en beauté, une petite pub pour la Sabena ^^


 
Belle journée, et surtout prenez bien soin de vous!

samedi 29 mai 2021

Ecaussinnes, son château-fort et son pont vicinal à 12 (ou 13) arches ^^

Voici le roman-photo d'une petite visite familiale dans un cadre bucolique à Ecaussinnes, qui nous a laissé un chouette souvenir :-)


On commence avec le château féodal, construit sur un roc escarpé, et qui domine la Sennette depuis le 13ème siècle. La structure originale est plusieurs fois agrandie et modifiée au cours des siècles par les familles de Lalaing, de Croy et van der Burch. Menacé de démolition, le château est sauvé par le chanoine Edmond Puissant dans les années 1920. Il est aujourd'hui la propriété de la fondation van den Burch et est repris sur la liste des bâtiments classés.



Ouvert au public le dimanche après-midi, on y visite les salles du rez-de-chaussée (le cachot, la chapelle, la cuisine et la salle d’armes) qui nous replongent en plein Moyen-Âge, tandis que les salles de l'étage présentent les collections d'Adrien van den Burch: porcelaines du Hainaut, objets religieux et mobilier des 17 et 18ème siècles. 







 

Le château comprend également un jardin et un potager de style 18ème.


 

Le château et ses jardins sont séparés par l'assiette d'un ancien chemin de fer vicinal, qui n'a cependant jamais vu passer le moindre tram. Son ouvrage d'art le plus emblématique est son pont à 12 arches.


 

Ce pont de 121,77 m de longueur et de 14,96 m de hauteur, constitué de 12 arcades (et non 13 comme cela est mentionné sur la carte postale ci-dessous)  a été construit de 1914 à 1916, à la demande de la SNCV qui comptait y faire passer la ligne de tram reliant Nivelles à Soignies.



La première guerre mondiale fait avorter le projet. Aucun tram n'y circula donc! En 1927, la carrière de Scoufflény rachète l'ouvrage afin d'y faire passer un raccordement vers la gare d'Ecaussinnes-Carrière pour y amener les pierres extraites de la carrière. La ligne est démontée en janvier 1962 et fait aujourd'hui office de sentier de promenade.






J'espère que ces quelques photos et informations vous auront donné envie de découvrir cette chouette petite ville, qui recèle certainement d'autres trésors que ceux que nous avons visité :-)


Vous pouvez retrouver les informations relatives à la visite du château-fort directement sur leur site internet => https://www.chateaufort-ecaussinnes.be/


Belle journée et surtout prenez bien soin de vous!




PS: au cas où vous auriez manqué l'info, je vous redonne
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